En 2001, l’esclavage est reconnu par la loi française comme un crime contre l’humanité. Son abolition est désormais célébrée et c’est l’occasion de se rappeler qu’aucun homme, qu’aucune femme ne saurait être un objet de commerce.
C’est aussi en 2001 que sont nés les jeunes comédiens qui se sont emparés du thème, pour cette pièce dédiée aux populations déportées d’Afrique pour que prospère le commerce européen. Mais au-delà de l’hommage, la jeunesse aujourd’hui souhaite interroger un vieux monde, gangréné de préjugés, afin que l’avenir porte en lui une renaissance : l’espoir d’un monde où chacun porte fièrement sa différence et trouve sa juste place.

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