Avant d’arriver en France, je pensais que j’avais un beau prénom, mais s’appeler Erika en France c’est l’équivalent de s’appeler Fukoshima au Japon. Je suis une catastrophe… une tache.
Décalage entre France et Québec, question des racines, sens de la vie, de la parentalité et des croyances. Érika, un univers sensible, allumé et fêlé où il y a de l’humour, du conte décalé et du slam gesticulé.
Ce spectacle devrait être remboursé par la sécu !
Une spectatrice
- Erika Leclerc Marceau
- Crédits : Pascal Trécourt
- Accéder à la fiche du document 865