Pour un dialogue culturel basé sur l’imaginaire des peuples

Catherine Dasté

Marraine de choc du festival

Avant tout, c’est de mes parents que j’ai reçu le terreau où je puise ma solidité, ma liberté. (...) J’ai fait mon chemin en rébellion, en marge, en solitaire, mais toujours, secrètement, habitée par eux, fidèle à eux.
De mon grand-père, Jacques Copeau, j’ai reçu des textes lus à haute voix, un regard observateur, sévère, chaud posé sur moi...

De ma mère, Marie-Hélène Dasté, la beauté, l’éloignement, les histoires de l’enfance, la passion pour le théâtre, la rébellion, l’orgueil...
De mon père, Jean Dasté, pionnier de la décentralisation culturelle en France, la gaîté, la malice, la modestie, la joie sur le plateau, l’amour...
De mes trois fils, Nicolas, Christophe et Jacques Allwright, et mes quatre petits enfants, l’inestimable don de l’imprévisible...

Catherine Dasté
Théâtre en chemin

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Crédits : Cyril Charles-Messance
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