Se questionner sur l’évolution du monde au travers de multiples ateliers de pratiques (gravure sur bois, typographie, masques, danse, percussion corporelle, fabrication d’objets), de lieux d’échanges (ateliers d’écriture, parloir de conteurs, espace de paroles sur la violence en famille et à l’école) et de spectacles. Mettre à profit ce temps suspendu pour interroger la fiction, la liberté de la création, la manipulation, les pièges. Prendre de la distance par rapport à nous-mêmes. Comprendre que nos vies sont des fictions et que, du coup, nous avons le pouvoir d’y intervenir, d’en modifier le cours.
Pour cette troisième année, nous avons fait le choix d’aller en milieu urbain, au cœur d’un bassin de population à forte dominante inter-générationnelle. Au sein d’un établissement scolaire, nommé Jean Moulin de surcroît, parents, professeurs, habitants ainsi que tous les publics du festival, accueillis par les collégiens, sont conviés à animer, vivre et faire vivre cette grande célébration.
Opus III
Givrées Morphoses
L’échappée belle